Minuteur : 30′ + 25′ de cuisson
Oseille : $$
Parts : 4
Mais qu’est ce qu’il y a dans ces tubes ?
Ingrédients Popeye :
– 12 cannelloni secs
– huile d’olive
– 3 gousses d’ail
– 500 gr de tomates cerise
– 500 gr de ricotta
– 500 gr d’épinards frais
– 2 œufs
– 100 gr de parmesan râpé
– de la noix de muscade en poudre
1 – Commencer par la sauce tomate : laver les tomates cerises et les couper en deux
2 – Éplucher et hacher l’ail finement, le faire revenir dans une casserole avec de l’huile d’olive
3 – Ajouter les tomates cerise, saler, poivrer et laisser mijoter une dizaine de minutes. Ajouter les feuilles de basilic ciselées une fois la sauce retirée du feu.
4 – Faire bouillir de l’eau salée dans 2 casseroles
5 – Dans l’une des deux casseroles, plonger les épinards préalablement lavés pendant une minutes puis les égoutter. Les essuyer avec de l’essuie-tout puis les hacher finement.
6 – Mettre la ricotta dans un saladier, ajouter les œufs et mélanger
7 – Verser les épinards et la moitié du parmesan dans le saladier, saler, poivrer, ajouter un peu de muscade et bien mélanger
8 – Faire cuire les cannelloni dans l’eau bouillante pendant 10 minutes
9 – Égoutter les pâtes et les séparer les unes des autres immédiatement pour éviter qu’elles ne collent.
10 – Mettre la farce aux épinards dans une poche à douille (ou un sac de congélation découpé sur une pointe)
11 – Fourrer généreusement chaque cannelloni et les placer dans un plat à four
12 – Recouvrir de la sauce tomate et saupoudrer le reste du parmesan
13 – Enfourner pendant une vingtaine de minutes
Servir. Vos convives seront ravis, vous leur mettrez du beurre dans les épinards !
La Perrine du chef : On privilégie les produits frais pour un maximum de goût : ricotta fraîche, épinards, basilic et tomates cerise du marché !
La Patience de Clémence : Une fois les cannelloni cuits, les découper dans le sens de la longueur et étaler la préparation à l’intérieur. Les rouler et les fermer, moins esthétique certes, mais un incroyable gain de temps !
De loin les meilleurs cannellonis que j’ai mangé. Une tuerie.